Après trois ans d’ascension, le collectif londonien annonce son premier projet long format avec l’afrobeat réconfortant de « We Give Thanks ».
Voici ce qu’explique KOKOROKO à propos de son nouveau single « We Give Thanks » : « Nous avons vraiment pensé au live pour ce titre, qui a été écrit avec l’idée de retrouver l’énergie que l’on déploie quand on arrive à la fin des concerts. Certains shows, comme celui de La Cigale à Paris ou du Paradiso à Amsterdam, ont eu vraiment un effet magique sur nous et nous avons essayé d’envoyer la même énergie en retour. » Faisant suite au funk de « Something’s Going On », paru en février, le morceau porte parfaitement l’ADN du collectif qui en quelques années s’est imposé comme l’un des groupes les plus en vue de la scène live de Londres.
La sortie de « We Give Thanks » est l’occasion pour les huit membres de KOKOROKO d’annoncer en musique leur premier album Could We Be More, qui sortira sur Brownswood Recordings, label de Gilles Peterson. Le projet continuera d’explorer les points de contact entre afrobeat et musique improvisée, et penchera également vers d’autres courants musicaux tels que la funk et le jazz. Comme sur son EP éponyme, le collectif tentera d’illustrer la « synergie entre l’Afrique et Londres » à la base même de son identité.
Could We Be More répondra à une attente particulière : dirigé par Sheila Maurice-Grey à la trompette et Onome Edgeworth aux percussions, KOKOROKO a connu un essor fulgurant, cumulant plus de 60 millions d’écoutes sur Spotify avec seulement sept morceaux à son actif, dont le hit « Abusey Jonction ».
Could We Be More de KOKOROKO, disponible le 5 août sur Brownswood Recordings.